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6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 00:43

J’ai l’impression que jenny a du mal avec elle même depuis trop de temps
En public elle fait comme tout le monde elle garde la face, elle renvoie une image de nana déconne, bien dans sa peau, épanouie...
Mais si tu l’observes de plus près, tu comprends vite que c’est pas vraiment ça; parce qu’elle en fait trop, elle parle fort...
Comme si elle cherchait à couvrir le bruit qui résonne dans sa propre tête
Et puis il y a quelque chose dans ses traits, dans les expressions de son visage, dans ses cernes et le sourire forcé qu’elle se bat pour afficher
Elle dégage une impression de fatigue et de lassitude comme si ses jolies yeux avaient perdus de leur éclat
Elle a dû être déçue ou abîmée par un garspeut-être même plusieurs d’ailleurs...
Et elle s’en remet pas depuis
Inconsciemment elle se punie même probablement pour ce qui s’est passé
Alors qu’elle a tout pour plaire

 

 

Chaque jours ou nous sommes séparés fait de la terre un endroit encore plus triste

IMG_4059-copie-1.jpg

J'y peux rien, je peux plus blairer personne. Evidemment chaque jour est différent : un jour je vais rêver de jolis papillons et vais me reveiller toute heureuse et pleine de regrets à cause des choses dites la veille - surement dues à mes cauchemars-

"Je ne suis pas méchante, c'est le monde qui est pourri, si la vie était moins violente, je le serais aussi".

 

Je deteste le monde entier, tout le monde, et je finis par croire que je me deteste moi même au final, à un point ou je me foutrais bien sous une bagnole parfois, y a des jours avec et des jours sans comme on dit ! 

 

Même quand je rencontre des gens sympa (souvent des hommes, en même temps faudra pas dire que j'ai pas essayé de m'entendre avec les femelles), y a toujours LA faille, la grosse faille intergalactique qui me crie de faire marche arrière parce que ci, parce que ça, parce que y a des histoires de femelles, parce que y a des histoires d'ennemis communs ou justement pas assez, des histoires de fric, de bruit, et de surdité, surtout de surdité …. 

 

Je me retrouve encore une fois devant mon clavier complètement foncecar, essayant d'apprecier la douceur de la vie, mais j'en viens toujours à la même conclusion, "je voudrais juste trouver quelqu'un de gentil qui prenne soin de moi", boah, finalement je suis bien toute seule hein.

 

Je ne me sens bien qu'en dehors de mon entourage, seule chez moi, ou très loin, et encore mate le spleen qui m'entoure maintenant. Je repars demain, une petite virée dans le sud à la mer (tien faut que je pense a prendre ma crème solaire cette fois ci ), j'ai l'impression que j'ai embaumé mes murs d'un desespoir violent et malsain. Sans parler de la haine que j'éprouve envers toutes vos expressions béesques.

J'ai fini par me haïr avec toutes vos conneries, mais après tout, c'est ces les petits (gros) défauts qui me rendent moi même, et même si je plais qu'a court terme (pour ne pas dire "même si je ne suis que baisable" c'est trop triste d'ailleurs), je me dis que je le mérite, car je ne me respecte peut-être pas assez, c'est pour ça qu'il ne remettra jamais les pieds chez nous, chez moi. D'ailleurs je fais une croix sur cet endroit malsain et je m'en vais loin.

 

Et si j'écris ceci c'est que j'éprouve quelques remords, en fait non, aucun justement, mais disons que j'en éprouve de ne pas en éprouver. Disons que je souhaite même du mal aux gens alors que je n'ai jamais fait ça avant, mes amourettes durent le temps d'une nuit, deux, trois, puis je me rends bien compte que je ne peux rien attendre, alors je n'ai d'autres choix que d'oublier, alors j'oublie, puis je vais vers une autre amourette, je me dis à chaque fois que c'est bon, puis ça ne l'est pas, alors je regresse, encore et encore, et je me rends compte qu'avant je m'obstinais un minimum, maintenant j'aimerais juste qu'on me dise "ça va pas le faire" et au moins je ne m'interdis pas d'autres hommes. Et le soucis, c'est que maintenant vu que j'en ai un peu marre d'être en attente de réponses qui ne viendront jamais (certes je pourrais aussi poser la question, mais comprennez, j'ai pas envie d'avoir l'air d'une chieuse) et bah je déduis que je ne peux rien attendre, alors je me prive pas, et je le dis, maintenant parce que justement, avant de me prendre pour une connasse, fallait assumer vos actions et dire ce que vous voulez, j'entends par là que me laisser sans nouvelles pendant une semaine, c'est pas vraiment comme ça que je vais être sage, faut pas deconner non plus.

 

Les histoires, les histoires, comment gâcher une relation en quelque secondes, comment aimer la tristesse de cette pauvre vie en partant les épaules hautes et fieres… Je sais que j'ai raison mais a force je me demande si j'ai pas un peu eu tord, en fait je crois juste que les autres ne savent plus admettre leurs tords, je dis pas que j'ai toujours raison mais au final c'est une histoire répétée encore et toujours, et l'ultime test, c'est l'excuse malgré la raison, et l'oublie du pardon néanmoins…. 

il faut bien avouer que l'idée de choisir des hommes au hasard dans une ville éloignée me faire jouir d'envie de voyager, ainsi me dis-je "allons chercher dans les villes près de la mer plutôt que de la merde", bref on va voir…

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